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A rare Art Deco chloromelanite jade and white gold bracelet, by Jean Fouquet

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A rare Art Deco chloromelanite jade and white gold bracelet, by Jean Fouquet. Photo: Christie's Images Ltd 2013

Designed as a series of octagonal-shaped chloromelanite jade open plaques, joined by sculpted 18k white gold links, mounted in 18k white gold, circa 1925, 6½ ins., with French assay marks and maker’s mark (indistinct). Signed Jean Fouquet. Estimate:  $80,000 – $100,000

Christie's. MAGNIFICENT JEWELS. 15 October 2013. New York, Rockefeller Plaza.


Lézard, Espagne, fin du XVIe siècle

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Lézard, Espagne, fin du XVIe siècle. Galerie J.Kugel © 2013

Pendentif en or émaillé, perles baroques, émeraudes et rubis. H. 5,2 cm ; L. 5,7 cm. Prix sur demande

Bibliographie: J. Kugel, Joyaux Renaissance une splendeur retrouvée, Paris, 2000, cat. n° 43, ill.

Le lézard en or est orné sur son corps et sa queue de huit émeraudes taillés en table, dont une en triangle. La tête de l’animal est formée d’une perle baroque et deux rubis en cabochon figurent ses yeux. Une langue en or sort de sa bouche. Un collier d’or avec des traces d’émail vert sert d’attache de la perle au corps. Ce dernier est émaillé de blanc et révèle une gravure de losanges figurant les écailles de l’animal. Sur la queue, dans le prolongement des émeraudes, se trouvent de petits rectangles d’émail vert figurant ces mêmes pierres. Une bélière en émail blanc et bleu d’où pendent deux perles est rattachée au lézard par le collier et la naissance de la queue à l’aide de deux courtes chaînes composées d’une suite successive de petites perles et de maillons d’or.

Le plus ancien lézard répertorié est celui conservé depuis le XVIe siècle dans le Trésor de la cathédrale de Saint-Domingue (cf. J. M. Cruz Valdovinos & A. E. Urena, n°148, pp. 233-234). Monseigneur Polanco Brito a suggéré d’identifier ce bijou, de même qu’un monstre marin semblable au nôtre, avec le « lézard » offert à la cathédrale par le basque Simon Bolivar vers 1560, ce qui permettrait une datation de notre bijou dans la deuxième moitié du XVIe siècle. 

Galerie J.Kugel. Les œuvres seront visibles sur rendez-vous à la galerie jusqu'au 8 novembre. Du lundi au vendredi de 10h à 13h, et de 14h30 à 18h30. 25 Quai Anatole France, 75007 Paris, France - +33 (0) 1 42 60 86 23 - http://www.galeriekugel.com

A large slip-painted bowl with vegetal designs, Persia or Central Asia, 10th century

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A large slip-painted bowl with vegetal designs, Persia or Central Asia, 10th century. Photo: Sotheby's.

of deep round form with straight rim, the red clay ground decorated with yellow, black and dotted white slips forming a stylised vegetal design between abrastact 'alif' motifs; 27cm. diam. Estimation 6,000 -- 8,000 GBP

PROPERTY FROM THE GUERRAND-HERMÈS COLLECTION 

Sotheby's. Arts of the Islamic World. London | 09 oct. 2013 - http://www.sothebys.com

Dromadaire, Francfort ou Dresde, vers 1700-1710. Entourage de Johann Melchior Dinglinger (Ulm 1664-Dresde 1731)

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Dromadaire, Francfort ou Dresde, vers 1700-1710. Entourage de Johann Melchior Dinglinger (Ulm 1664-Dresde 1731). Galerie J.Kugel © 2013

En argent doré, perle baroque, diamants et lapis-lazuli. H. 7,1 cm ; H. (avec base) 9,8 cm ;  L. 9 cm ; P. 6 cm. Prix sur demande

Provenance: Paul Wallraf, Londres
Ruth Blumka, New York

Bibliographie: Sutton Denys, “Works of Art from the Paul Wallraf Collection” The Connoiseur, Juin 1961, p. 12
Thorndike Lynn, The History of magic and Experimental Sciences, New York, 1923-1958, vol. VII pp. 196-197, 243

Exposition: The Age of the Marvelous, Hood Museum of Art, Darmouth College, New Hampshire, 1991, p. 262, cat. 36

Le dromadaire est constitué de deux perles baroques, l’une formant la tête et l’autre le corps, montées sur les quatre pattes et le cou en argent ciselé et doré. Deux petits diamants forment les yeux. Le chameau est fixé sur une base rectangulaire en lapis-lazuli d’époque postérieure. 

Cet exceptionnel dromadaire est réaliséà partir d’une gigantesque perle baroque. Les figures d’animaux avec un corps en perle baroque étaient très en faveur à la Cour d’Auguste le Fort à Dresde. Ils se rencontrent sous forme de pendant ou de figurine sur socle. Les plus précieux étaient montés en or et émaux. Un petit dromadaire (Syndram, D., « … und ein Leib von Perl », Dresde, 2000, p. 57) en perle baroque montée en or émaillé fait partie des collections de la Voûte verte à Dresde. Une chèvre (ibid., p. 69) également conservée à la Voûte verte, en perle baroque et or, présente un traitement similaire au présent dromadaire.

L’artiste qui le réalisa se situe dans le sillage du grand orfèvre, Johann Melchior Dinglinger qui domina l’art de la cour d’Auguste II de Saxe au début du XVIIIe siècle et dont les œuvres, caractérisées par la richesse des matériaux et la profusion de perles baroques, camées et pierres fines, sont conservées en grande partie à la Voûte verte de Dresde. Ce dromadaire, malgré le choix des matières, reste sobre et se distingue avant tout par la qualité de la ciselure.

Galerie J.Kugel. Les œuvres seront visibles sur rendez-vous à la galerie jusqu'au 8 novembre. Du lundi au vendredi de 10h à 13h, et de 14h30 à 18h30. 25 Quai Anatole France, 75007 Paris, France - +33 (0) 1 42 60 86 23 - http://www.galeriekugel.com

A large slip-painted bowl with abstract design, Persia or Central Asia, 10th century

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A large slip-painted bowl with abstract design, Persia or Central Asia, 10th century. Photo: Sotheby's.

of deep round form with a slightly everted rim, the interior decorated with yellow ochre, red and black slips forming a series of wavy lines springing from a central band with an abstract design; 20.3cm. diam. Estimation 4,000 -- 6,000 GBP

PROPERTY FROM THE GUERRAND-HERMÈS COLLECTION 

Sotheby's. Arts of the Islamic World. London | 09 oct. 2013 - http://www.sothebys.com

Licorne chevauchée par la Victoire et la France. Probablement Paris, vers 1830

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Licorne chevauchée par la Victoire et la France. Probablement Paris, vers 1830. Galerie J.Kugel © 2013

Pendentif en or émaillé, perles baroques, diamants et rubis. H. 13,2 cm ; L. 8,2 cm. Prix sur demande

Provenance: Louis-Fidel Debruge Dumenil avant 1838
Lord Londesborough
Lady Cunninghan
Baron Adolphe de Rothschild, vers 1870
Baron Maurice de Rothschild, vers 1935
Par descendance

Bibliographie: Labarte Jules, Description des objets d’art qui composent la collection Debruge Dumesnil, 1847 n° 1002
Fairholt, F. MISCELLANEA GRAPHICA: Representations of Ancient, Medieval, and Renaissance Remains in the possession of Lord Londesborough, 1857 pl. V fig. 4
Tait Hugh, Waddesdon Bequest, The Jewels, p. 17-18

Exposition : Exposition rétrospective : l’orfèvrerie et le bijou d’autrefois, 19 mars – 10 avril 1935, Paris, n° 203, p. 29/30

La licorne, en or émaillé blanc, a le corps formé de deux perles baroques. Elle est chevauchée par l’allégorie de la Victoire tenant la palme dans sa main et la France drapée de fleurs de lys, tenant une épée, toutes deux enlacées. Des diamants et rubis ornent l’ensemble et sous le ventre de l’animal pend une perle. Le bijou est maintenu par deux chaînes en or reliées entre elles par une bélière ornée d’un rubis et de deux émeraudes, d’où pend une perle.  

Ce bijou, célèbre au XIXe siècle, est directement inspiré de bijoux provenant du trésor de Saxe conservés à la Voûte verte de Dresde. La figure tenant l’épée s’inspire de la figure de Justice qui orne un cabinet de Dresde (Hackenbroch, Y. Renaissance Jewellery, ill. 578). Le drapé de fleurs de lys de l’allégorie de la France aura rendu le bijou particulièrement désirable à un collectionneur français et suggère qu’il a pu être réaliséà Paris, vers 1820-1830, par la première génération d’orfèvres qui copièrent les œuvres de la Renaissance pour répondre à l’engouement croissant des collectionneurs. 

Il provient en effet de la célèbre collection de Louis-Fidel Debruge-Duménil (1788-1838) qui constitua, dès environ 1820, l’une des première et des plus importantes et premières collections d’objets d’art du Moyen-Âge et de la Renaissance. Le catalogue posthume de sa collection, publié en 1847, comprend plus de 2000 numéros et est précédé d’une longue introduction historique par son gendre Jules Labarte couvrant tous les aspects des arts décoratifs. Cet ouvrage, l’un des premiers du genre et illustré de gravures, aura une influence déterminante pour la génération suivante de collectionneurs, en particulier le baron James de Rothschild et d’autres membres de cette famille qui se porteront acquéreurs des plus beaux lots de la collection, y compris le présent objet.

 

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Le pendentif gravé dans Fairholt, F. 1857 pl. V, fig. 4

Galerie J.Kugel. Les œuvres seront visibles sur rendez-vous à la galerie jusqu'au 8 novembre. Du lundi au vendredi de 10h à 13h, et de 14h30 à 18h30. 25 Quai Anatole France, 75007 Paris, France - +33 (0) 1 42 60 86 23 - http://www.galeriekugel.com

A Nishapur calligraphic pottery bowl,

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A Nishapur calligraphic pottery bowl, Persia or Central Asia, 10th century. Photo: Sotheby's

of deep rounded form on a low foot with a slightly inverted rim, featuring a bold Kufic inscription painted in brown on a cream slip ground; 22cm. diam. 9.2cm. height. Estimation 4,000 -- 6,000 GBP

PROPERTY FROM THE GUERRAND-HERMÈS COLLECTION 

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‘The Paradise’

The present bowl features a thick, bold Kufic inscription that is typical of a group of fine calligraphic dishes from the Samanid period which were elegantly inscribed with a brush and then tidied up along the edges of the inscription with a palette knife. These were set on a pristine white ground to show off the calligraphy to its greatest effect. 

Sotheby's. Arts of the Islamic World. London | 09 oct. 2013 - http://www.sothebys.com

Petit dragon, Flandres, fin du XVIe siècle

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Petit dragon, Flandres, fin du XVIe siècle. Galerie J.Kugel © 2013

En or émaillé, perles baroques et rubis. L. 3,4 cm ; l. 3,2 cm. Prix sur demande

Bibliographie: J. Kugel, Joyaux Renaissance une splendeur retrouvée, Paris, 2000, cat. n° 51, ill.

Le corps du dragon est composé d’une large perle baroque boursouflée d’où part une longue queue en or émaillé blanc et noir avec des rehauts de rouge translucide. Un collier en émail blanc, bleu et orange translucides relie le corps à la tête formée d’une autre perle baroque. Celle-ci présente des oreilles en émail rouge translucide, des yeux en cabochons de rubis, une gueule ouverte avec des dents en émail blanc et une langue pendante en émail rouge translucide. Les pattes en or sont modernes.

Malgré l’adjonction des pattes modernes, ce monstre ne présente pas d’anneau ou autres points d’attaches qui indiqueraient qu’il s’agit d’un élément de pendentif. Il semble avoir été conçu comme un petit objet indépendant, à l’instar d’une série d’animaux formés à partir d’une perle baroque conservés au Museo degli Argenti de Florence et provenant de la collection de l’Électrice Palatine Anna Maria de Médicis. Considérés comme étant de facture flamande de la fin du XVIe siècle, certains de ces animaux reposent sur des bases tandis que d’autres se tiennent directement sur leurs pattes.

Galerie J.Kugel. Les œuvres seront visibles sur rendez-vous à la galerie jusqu'au 8 novembre. Du lundi au vendredi de 10h à 13h, et de 14h30 à 18h30. 25 Quai Anatole France, 75007 Paris, France - +33 (0) 1 42 60 86 23 - http://www.galeriekugel.com


Two monumental turquoise-glazed calligraphic tiles, signed by Yusuf Ibn ‘Ali [Ibn] Muhammad Ibn Abi [Tahir], probably Kashan

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Two monumental turquoise-glazed calligraphic tiles, signed by Yusuf Ibn ‘Ali [Ibn] Muhammad Ibn Abi [Tahir], probably Kashan, Persia, 13th century. Photo: Sotheby's

comprising two tile panels with a turquoise glaze and moulded calligraphic decoration along the borders, featuring a central rectangular moulded border containing further calligraphy; 113.5 by 41.5cm. Estimation  80,000 — 120,000 GBP 

PROPERTY FROM THE GUERRAND-HERMÈS COLLECTION

Inscriptions: Right border:  Qur’an, chapter II (al-baqara), part of verse 285.
Left and bottom borders:  Qur’an, chapter II (al-baqara), part of verse 286.

These were likely to have formed part of a larger tile panel. Since the beginning of the inscription is missing, it is not easy to identify the function of the panel and where it belonged. It starts with the name of the seventh Imam (Musa ibn Ja’far) and benedictions to him and his fathers. It is then followed by:
al-sahib al-mu’azzam fakhr al-din al-hasan ibn muhammad kani dama mu’azzama ‘ala  wa talaba sabil allah/li-thawabihi wa ja’ala li-manu (?)  allahumma ighfir al-mu’minin wa al-mu’minat wa al-muslimin wa al-muslimat bi-rahmatika ya arham al-rahimin ‘amalahu wa katabahu yusif ibn ‘ali [ibn] muhammad ibn abi [tahir]

‘The honoured patron [is] Fakhr al-Din al-Hasan ibn Muhammad Kani, may his honour be upon …. And seek in God’s path for his good deed ….  O God, forgive male believers and female believers and male Muslims and female Muslims through your mercy O the most Merciful of those who show mercy.  Yusif ibn ‘Ali [ibn] Muhammad ibn Abi [Tahir] made it and wrote it’


The potter/scribe is the last of the Abi Tahir descendants of potters. For his recorded pieces, see Watson 1985, p. 179.

Sotheby's. Arts of the Islamic World. London | 09 oct. 2013 - http://www.sothebys.com

Tabatière à tête de chien. Par Jean-Louis Leferre, Paris, 1819-1838

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Tabatière à tête de chien. Par Jean-Louis Leferre, Paris, 1819-1838Galerie J.Kugel © 2013

En écaille, or de quatre couleurs, perle baroque, diamants, rubis. H. 3,7 cm ; L. 8,2 cm ; P. 6,2 cm. Prix sur demande

La boîte en écaille montée en or rose présente une réserve ovale en verre bombé abritant un médaillon en or de quatre couleurs à décor de fleurs, de fruits et de coquillages, d’oùémerge un chien. Entre ses pattes avant, se trouve un serpent. La tête du chien est formée d’une perle baroque, tandis que ses pattes et ses oreilles sont pavées de diamants rehaussés de rubis. 

Le médaillon central était sans aucun doute à l’origine une broche que son propriétaire voulut faire monter précieusement en tabatière. 

Jean-Louis Leferre est avec son frère Alexandre l’un des principaux orfèvres de la première moitié du XIXe siècle. Il fut probablement maître en 1781 et s’installa en 1806 au 290, rue Saint-Martin. Il se spécialisa dans les tabatières en écaille ornées de toutes sortes de miniatures contemporaines ou plus anciennes et il recréa souvent des montures à cage pour des tabatières du XVIIIe siècle qui avaient perdu leur monture d’origine. Après sa mort, sa veuve continua avec succès l’activité jusqu’au milieu du XIXe siècle. Le Louvre possède vingt-cinq tabatières issues de l’atelier des Leferre. 

Galerie J.Kugel. Les œuvres seront visibles sur rendez-vous à la galerie jusqu'au 8 novembre. Du lundi au vendredi de 10h à 13h, et de 14h30 à 18h30. 25 Quai Anatole France, 75007 Paris, France - +33 (0) 1 42 60 86 23 - http://www.galeriekugel.com

A turquoise-glazed pottery house model, Persia, 12th-13th century

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A turquoise-glazed pottery house model, Persia, 12th-13th century. Photo: Sotheby's

of rectangular form, with moulded decoration comprising an animal pen to the top containing various quadrupeds with an aperture in the centre, the sides also with open roundels and one main rectangular opening, covered with a bright turquoise glaze: 20.5 by 15.1cm. Estimation 8,000 — 12,000 GBP

This interesting piece belongs to a surviving group of glazed ceramic house models, believed to date from the late/post-Seljuq period in Persia (circa 1150-1250) and studied extensively by Dr Margaret Graves and Dr Melanie Gibson. Organised around a central courtyard, the quadruped figurines on the present example were probably modelled as bulls and lions.

For additional scholarship on these models, please refer to: Margaret S. Graves, "Ceramic House Models from Medieval Persia: Domestic Architecture and Concealed Activities", in IRAN: Journal of the British Institute of Persian Studies, vol. 46 (2008), pp.227-251. 

We are grateful to Dr Melanie Gibson for her assistance in the cataloguing of this lot. 

Sotheby's. Arts of the Islamic World. London | 09 oct. 2013 - http://www.sothebys.com

Conical Bowl, China, Kangxi period (1662 – 1722), circa 1700

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Conical Bowl, China, Kangxi period (1662 – 1722), circa 1700. Photo courtesy Vanderven Oriental Art.

Height: 9 cm Diameter: 22,5 cm. Price on request

Provenance: Private Collection the Netherlands 
With Vanderven 1970 – ‘s 

The chess-playing scene painted on this conical bowl is a frequently seen motif in Chinese art. It is typically composed of two weiqi (Chinese chess) players seated opposite each other under a pine tree; often with a third person watching. An early example of this scene on porcelain is a blue-and-white jar of the Chenghua Period (1465-1487), in the collection of the National Museum of China, Beijing  

Weiqi playing is favoured by literati, and considered one of the four basic intellectual abilities. The other three being playing qin, creating calligraphic works and painting. Therefore, on artwork, this scene symbolizes the strategic thinking of the ruling class.  

The decoration of a floral scroll on the inner side of the rim, as well as the conical shape, indicate that the bowl is more probably used to contain liquid such as tea or soup, instead of rice. . A similarly shaped bowl from the same period, but with a scalloped edge, can also be found in the Palace Museum, Beijing. 

LiteratureAsian Games: The Art of Contest, Asia Society, New York, 2004 

Qing porcelain from the Palace Museum, part I: Qing Shunzi Kangxi Chao. Catalogue Palace Museum, Beijing, 2005 

Vanderven Oriental Art - http://www.vanderven-vanderven.com/

Diamond ring

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Diamond ring. Photo: Sotheby's.

Simply set with a pear-shaped diamond weighing 10.40 carats, mounted in 18 karat yellow gold. Ring size: 5½. Estimation 450,000 - 600,000 HKD (43,532 - 58,042 EUR) 

Accompanied by GIA report numbered 7111496850, dated 28 September 2010, stating that the 10.40 carat diamond is natural, N (Very Light Brown) colour, VVS2 clarity. 
 
Sotheby's. Magnificent Jewels and Jadeite. Hong Kong | 07 oct. 2013 - http://www.sothebys.com

Blue and White Temple Vase, China, Jiajing period (1522-1566)

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Blue and White Temple Vase, China, Jiajing period (1522-1566). Photo courtesy Vanderven Oriental Art.

Height: 82 cm. Price on request 

Provenance: private collection, Savoie, France 

The vase is decorated around the neck in underglaze blue with Tibetan Sanskrit characters in a Chinese calligraphic style.  

The large central character represents the Buddhist invocation ‘Om’. This is the first character of a mantra - a chanted sound to promote concentration in prayer. The entire mantra - Om Mani Padme Hum – is from Tibetan Buddhism and calls on the goddess Mahāvidyā.  

The shape and decoration on this vase suggest that it was made for ritual use in a temple.  

Vanderven Oriental Art - http://www.vanderven-vanderven.com/

Fancy deep grayish yellowish green 'Chameleon' diamond, pink diamond and diamond ring

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Fancy deep grayish yellowish green 'Chameleon' diamond, pink diamond and diamond ring. Photo: Sotheby's.

Centring on a heart-shaped fancy deep grayish yellowish green diamond weighing 3.93 carats, surrounded by circular-cut pink diamonds and marquise-shaped diamonds extending to the shoulders, the pink diamonds and diamonds together weighing approximately 2.90 carats, mounted in platinum and 18 karat pink gold. Ring size: 6. Estimation 1,250,000 - 1,400,000 HKD (116,084 - 135,431 EUR)

Accompanied by GIA report numbered 2135171045, dated 8 March 2011, stating that the 3.93 carat diamond is natural, Fancy Deep Grayish Yellowish Green colour, VVS2 clarity. The colour of this stone changes temporarily when gently heated, or when left in darkness for a period of time and is known in the trade as "Chameleon". 
 
Sotheby's. Magnificent Jewels and Jadeite. Hong Kong | 07 oct. 2013 - http://www.sothebys.com

Underglaze Blue & White Stemcup, China, Tianqi Period (1605-1627)

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Underglaze Blue & White Stemcup, China, Tianqi Period (1605-1627). Photo courtesy Vanderven Oriental Art.

Height: 16 cm Diameter Cup: 11,2 cm. Price & condition on request 

Provenance: Private Collection, The Netherlands 
with Vanderven & Vanderven Orietnal Art in the 1970's 

The stem of the cup is broader than usual. It therefore resembels a chalice. 

Zhu Youxiao became emperor at the age of fifteen, on the death of his father who ruled less than a month. He did not pay much attention to affairs of state, and was accused of failing in his filial duties to his dead father by not continuing his father's wishes. It is possible that Zhu Youxiao suffered from a learning disability or something more. He was illiterate and showed no interest in his studies.  

Because he was unable to read memorials and uninterested in the affairs of state, his head eunuch, Wei Zhongxian usurped the power along with Madam Ke, Zhu Youxiao's nanny. Zhu Youxiao apparently devoted his time to carpentry. Wei took advantage of the situation and began appointing the people he trusted to important positions in the palace. Meanwhile Madam Ke, who was the nanny of the young emperor sought to retain power by removing all other women from the emperor's harem by locking away the concubines of the emperor and starving them to death. 

Vanderven Oriental Art - http://www.vanderven-vanderven.com/

Light yellow diamond necklace

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Light yellow diamond necklace. Photo: Sotheby's.

Set with sixty-four graduated pear-shaped light yellow diamonds together weighing approximately 67.00 carats, mounted in 18 karat yellow gold, length approximately 410mm. Estimation 1,000,000 - 1,500,000 HKD (96,737 - 145,105 EUR)

Sotheby's. Magnificent Jewels and Jadeite. Hong Kong | 07 oct. 2013 - http://www.sothebys.com

Blue & White Bowl with Figures, China, Kangxi Period (1662-1722)

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Blue & White Bowl with Figures, China, Kangxi Period (1662-1722). Photo courtesy Vanderven Oriental Art.

Diameter 23 cm. Price on request

Provenance: Private Collection, The Netherlands

The scenes around the outside shows scholars in various activities such as chess playing and mediatating. This alludes to the story of the seven sages in the bamboo grove.

Vanderven Oriental Art - http://www.vanderven-vanderven.com/

Diamond bangle

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Diamond bangle. Photo: Sotheby's.

The openwork cuff-bangle set with brilliant-cut diamonds, highlighted with pear- and marquise-shaped diamonds, the diamonds together weighing approximately 66.45 carats, mounted in 18 karat white gold, length approximately 160mm. Estimation 500,000 - 600,000 HKD (48,369 - 58,042 EUR)

Sotheby's. Magnificent Jewels and Jadeite. Hong Kong | 07 oct. 2013 - http://www.sothebys.com

"Masculin / Masculin. L'homme nu dans l'art de 1800 à nos jours" au Musée d'Orsay

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Pierre et Gilles (nés respectivement en 1950 et en 1953), Mercure, 2001 (modèle : Enzo Junior). Photographie peinte, pièce unique. H. 117,3 ; L. 87 cm. Collection particulière © Pierre et Gilles. Courtesy Galerie Jérôme de Noirmont, Paris

PARIS.- Alors que le nu féminin s’expose aussi régulièrement que naturellement, le corps masculin n’a pas eu la même faveur. Qu’aucune exposition ne se soit donné pour objet de remettre en perspective la représentation de l’homme nu sur une longue période de l’histoire avant le Leopold Museum de Vienne à l’automne 2012 est plus que significatif. Pourtant, la nudité masculine était pendant longtemps au fondement de la formation académique du XVIIe au XIXe siècles et constitue une ligne de force de la création en Occident. S’appuyant sur la richesse de son propre fonds (quelques sculptures inconnues) et des collections publiques françaises, le musée d’Orsay se donne donc comme ambition avec l’exposition Masculin / Masculin d’approfondir, dans une logique à la fois interprétative, ludique, sociologique et philosophique toutes les dimensions et significations de la nudité masculine en art. Parce que le XIXe siècle puise au classicisme du XVIIIesiècle et que  son écho résonne jusqu’à nos jours, cette exposition élargit l’horizon traditionnel du musée d’Orsay pour embrasser plus deux siècles de création jusqu’à nos jours, dans toutes les techniques,  peinture, sculpture, art graphique et bien sûr photographie, qui auront une place égale dans le parcours.

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Jacques Louis David (1748-1825) Académie d’homme, dit Patrocle, 1778. Huile sur toile. H. 122 ; L. 170 cm. Cherbourg, musée Thomas-Henry © Cherbourg, musée Thomas-Henry

Pour faire comprendre la spécificité masculine du corps, l’exposition a préféréà une chronologie fastidieuse la succession de thèmes nodaux faisant se succéder les canons esthétiques hérités de l’Antiquité, leur réinterprétation aux époques néo-classique, symboliste et contemporaine dans une glorification toujours plus grande du héros, la fascination réaliste pour la révélation du corps dans toute sa vérité, la nudité comme accomplissement du corps dans la nature, la mise à mal du corps et l’expression de la douleur et enfin son érotisation. Le parti-pris est d’établir un véritable dialogue entre les époques pour donner à voir les réinterprétations suscitées par certains artistes sur des œuvres antérieures. Dès le milieu du XVIIIe siècle Winckelmann étudie l’héritage des divine proporzioni du corps héritées des Anciens qui, malgré des remises en cause radicales et par un des passages mystérieux de l’histoire de l’art, sont encore en vigueur jusqu’à nos jours comme acceptation de la beauté. De Jacques-Louis David à George Platt-Lynes, LaChapelle et Pierre et Gilles, en passant par Gustave Moreau, c’est tout une filiation qui se fait jour, autour des questions de pouvoir, de censure, de pudeur, d’horizon d’attente du public et d’évolution des mœurs dans la société. 

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Emile-Edmond Peynot (1850-1932), Torse du Belvédère, 1881. Marbre. H. 126 ; L. 76 ; P. 90 cm. Paris, Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts © Beaux-Arts de Paris, Dist. RMN-Grand Palais / image Beaux-arts de Paris

L’exaltation par Winckelmann de la beauté grecque laisse apparaître en filigrane un désir charnel, traversant indiscutablement deux siècles et pouvant concerner hommes comme femmes, du groupe des « Barbus » de l’atelier de David à David Hockney et au cinéaste James Bidgood.
C’est aussi cette sensibilité qui imprègne le tournant des XIXe et XXe siècle s’interrogeant sur son identité comme l’indique l’extraordinaire École de Platon, inexplicablement achetée par l’État français en 1912 au belge Delville. De même, l’exposition mettra au jour d’autres filiations, plastiques ou intellectuelles au travers d’œuvres d’artistes célèbres tels Georges de La Tour, Pierre Puget, Abilgaard, Paul Flandrin, Bouguereau, Hodler, Schiele, Munch, Picasso, Bacon,
Mapplethorpe, Freud ou Mueck, tout en réservant des surprises comme le Saint Sébastien du mexicain Angel Zarraga, Les Bains mystérieux de De Chirico ou les érotica des américains Charles Demuth et Paul Cadmus. 

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Jean-Baptiste Frédéric Desmarais (1756-1813), Le Berger Pâris, 1787. Huile sur toile. H. 177 ; L. 118 cm. Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa © Photo © MBAC

C’est donc à un parcours mettant en question la permanence d’un thème éternellement repris par les artistes, grâce à des confrontations inattendues et fécondes entre différents moments de résurgences de l’homme nu dans l’art qu’invite le musée d’Orsay avec l’exposition Masculin / Masculin cet automne. 

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Jean-Bernard Duseigneur (1808-1866), Roland furieux, 1867. Fonte. H. 130 ; L. 146 ; P. 90 cm. Paris, musée du Louvre © Musée du Louvre, Dist. RMN-Grand Palais / Thierry Ollivier

PARIS.- While it has been quite natural for the female nude to be regularly exhibited, the male nude has not been accorded the same treatment. It is highly significant that until the show at the Leopold Museum in Vienna in the autumn of 2012, no exhibition had opted to take a fresh approach, over a long historical perspective, to the representation of the male nude. However, male nudity was for a long time, from the 17th to 19th centuries, the basis of traditional Academic art training and a key element in Western creative art. Therefore when presenting the exhibition Masculine / Masculine, the Musée d’Orsay, drawing on the wealth of its own collections (with several hitherto unknown sculptures) and on other French public collections, aims to take an interpretive, playful, sociological and philosophical approach to exploring all aspects and meanings of the male nude in art. Given that the 19th century took its inspiration from 18th century classical art, and that this influence still resonates today, the Musée d’Orsay is extending its traditional historical range in order to draw a continuous arc of creation through two centuries down to the present day The exhibition will include the whole range of techniques: painting, sculpture, graphic arts and, of course, photography, which will have an equal place in the exhibition

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Auguste Rodin (1840-1917), L'Age d'airain. Entre 1877 et 1880. Statue de bronze. H. 178 ; L. 59 ; P. 61,5 cm. Paris, musée d'Orsay © RMN-Grand Palais (Musée d'Orsay) / Thierry Ollivier

To convey the specifically masculine nature of the body, the exhibition, in preference to a dull chronological presentation, takes the visitor on a journey through a succession of thematic focuses, including the aesthetic canons inherited from Antiquity, their reinterpretation in the Neo-Classical, Symbolist and contemporary eras where the hero is increasingly glorified, the Realist fascination for truthful representation of the body, nudity as the body’s natural state, the suffering of the body and the expression of pain, and finally its eroticisation. The aim is to establish a genuine dialogue between different eras in order to reveal how certain artists have been prompted to reinterpret earlier works. In the mid 18th century, Winckelmann examined the legacy of the divine proporzioni of the body inherited from Antiquity, which, in spite of radical challenges, still apply today having mysteriously come down through the history of art as the accepted definition of beauty. From Jacques-Louis David to George Platt-Lynes, LaChapelle and Pierre et Gilles, and including Gustave Moreau, a whole series of connections is revealed, based around issues of power, censorship, modesty, the boundaries of public expectation and changes in social mores

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William Bouguereau (1825-1905), Egalité devant la mort, 1848. Huile sur toile. H. 141 ; L. 269 cm. Paris, musée d'Orsay © Musée d'Orsay, dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt

Winckelmann’s glorification of Greek beauty reveals an implicit carnal desire, relating to men as well as women, which certainly comes down through two centuries from the “Barbus” group and from David’s studio, to David Hockney and the film director James Bidgood. This sensibility also permeates the turn of the 19th and 20th centuries as it questions its own identity, as we see in the extraordinary painting École de Platon [School of Plato], inexplicably purchased by the French state in 1912 from the Belgian artist Delville. Similarly, the exhibition will reveal other visual and intellectual relationships through the works of artists as renowned as Georges de La Tour, Pierre Puget, Abilgaard, Paul Flandrin, Bouguereau, Hodler, Schiele, Munch, Picasso, Bacon, Mapplethorpe, Freud and Mueck, while lining up some surprises like the Mexican Angel Zarraga’s Saint Sébastien [Saint Sebastian], De Chirico’s Les Bains mystérieux [Mysterious Baths] and the erotica of Americans Charles Demuth and Paul Cadmus

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Frédéric Bazille (1841-1870), Le Pêcheur à l’épervier, 1868. Huile sur toile. H. 134 ; L. 83 cm. Zurich, Fondation Rau pour le Tiers-Monde ©© Lylho / Leemage

This autumn therefore, the Musée d’Orsay will invite the visitor to an exhibition that challenges the continuity of a theme that has always interested artists, through unexpected yet productive confrontations between the various revivals of the nude man in art.

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Hippolyte Flandrin (1809-1864), Jeune assis au bord de la mer, étude, 1836. Huile sur toile. H. 98 ; L. 124 cm. Paris, musée du Louvre © Musée du Louvre, Dist. RMN-Grand Palais / Angèle Dequier

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David LaChapelle (né en 1963), Would-Be Martyr and 72 virgins, 2008. Photographie. H. 119,4 ; L. 304,8 cm. Paris, Galerie Daniel Templon © Courtesy Galerie Daniel Templon, Paris. © David LaChapelle 

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François-Xavier Fabre (1766-1837), Saint Sébastien expirant, 1789. Huile sur toile. H. 196 ; L. 147 cm. Montpellier, musée Fabre de Montpellier Agglomération © Musée Fabre de Montpellier Agglomération - cliché Frédéric Jaulmes 

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Paul Cadmus (1904-1999), Le Bain (The Bath), 1951. Tempera sur carton. H. 36,4 ; L. 41,4 cm. New York, Whitney Museum of American Art. Don anonyme © Whitney Museum of American Art, NY - Art © Jon F. Anderson, Estate of Paul Cadmus / ADAGP, Paris 2013 

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Anne-Louis Girodet (1767-1824), Le Sommeil d’Endymion, 1791. Huile sur toile. H. 90 ; L. 117,5 cm. Montargis, Musée Girodet © Cliché J. Faujour/musée Girodet, Montargis

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